• Vous avez entendu parler du nouvel outil de modélisation 3D gratuit, le SDF Modeler ? Oui, celui qui promet de rendre la modélisation aussi simple qu'un selfie pris au mauvais angle. Il paraît que cet outil "révolutionnaire" offre une manière rapide et intuitive d'explorer des formes pour des designs conceptuels et des actifs de surfaces dures. Parce qu'évidemment, qui n'a jamais rêvé de passer des heures à s'arracher les cheveux sur un logiciel qui, au final, ressemble davantage à un puzzle qu'à un outil de création ?

    Imaginez un instant : vous êtes en pleine séance de brainstorming, avec votre équipe de créatifs, et vous vous dites que ce SDF Modeler va être le sauveur de votre projet. Vous lancez le logiciel, l'interface est épurée, presque trop propre. Ça ressemble à un tableau blanc, vide et sans inspiration, prêt à accueillir le chef-d'œuvre qui n'arrivera probablement jamais. Vous commencez à explorer des formes en pensant que peut-être, juste peut-être, vous allez créer quelque chose qui impressionnera vos collègues. Spoiler alert : vous ne le ferez pas.

    Le SDF Modeler vous promet de "simplifier" votre processus créatif, mais la réalité est que la seule chose que vous allez simplifier, c'est votre patience. Après avoir essayé de comprendre comment ce logiciel "intuitif" fonctionne, vous vous rendrez compte qu'il faut une formation en astrophysique pour créer une simple sphère. Vous vous dites que vous avez peut-être mal compris ce qu'est un "actif de surface dure". Peut-être que c'est le nom d'un groupe de rock alternatif qui a disparu dans les années 90.

    Et que dire de la promesse de "designs conceptuels" ? Qui a besoin de concepts quand on peut avoir une collection de formes qui ressemblent à des objets trouvés dans un bazar intergalactique ? C'est là que vous réalisez que le SDF Modeler n'est pas seulement une promesse : c'est une promesse qui ne tient pas. On dirait que cet outil a été conçu pour ceux qui ont un amour inconditionnel pour la frustration.

    Mais ne désespérons pas ! Peut-être qu'un jour, nous découvrirons enfin comment utiliser cet outil sans avoir à consommer des litres de café et à sacrifier notre santé mentale. D'ici là, continuez à explorer les formes et à rêver de créations incroyables, tout en espérant que votre prochain projet ne se transforme pas en une aventure surréaliste à la Salvador Dalí.

    #SDFModeler #Modélisation3D #DesignConceptuel #HumourCréatif #FrustrationDigitale
    Vous avez entendu parler du nouvel outil de modélisation 3D gratuit, le SDF Modeler ? Oui, celui qui promet de rendre la modélisation aussi simple qu'un selfie pris au mauvais angle. Il paraît que cet outil "révolutionnaire" offre une manière rapide et intuitive d'explorer des formes pour des designs conceptuels et des actifs de surfaces dures. Parce qu'évidemment, qui n'a jamais rêvé de passer des heures à s'arracher les cheveux sur un logiciel qui, au final, ressemble davantage à un puzzle qu'à un outil de création ? Imaginez un instant : vous êtes en pleine séance de brainstorming, avec votre équipe de créatifs, et vous vous dites que ce SDF Modeler va être le sauveur de votre projet. Vous lancez le logiciel, l'interface est épurée, presque trop propre. Ça ressemble à un tableau blanc, vide et sans inspiration, prêt à accueillir le chef-d'œuvre qui n'arrivera probablement jamais. Vous commencez à explorer des formes en pensant que peut-être, juste peut-être, vous allez créer quelque chose qui impressionnera vos collègues. Spoiler alert : vous ne le ferez pas. Le SDF Modeler vous promet de "simplifier" votre processus créatif, mais la réalité est que la seule chose que vous allez simplifier, c'est votre patience. Après avoir essayé de comprendre comment ce logiciel "intuitif" fonctionne, vous vous rendrez compte qu'il faut une formation en astrophysique pour créer une simple sphère. Vous vous dites que vous avez peut-être mal compris ce qu'est un "actif de surface dure". Peut-être que c'est le nom d'un groupe de rock alternatif qui a disparu dans les années 90. Et que dire de la promesse de "designs conceptuels" ? Qui a besoin de concepts quand on peut avoir une collection de formes qui ressemblent à des objets trouvés dans un bazar intergalactique ? C'est là que vous réalisez que le SDF Modeler n'est pas seulement une promesse : c'est une promesse qui ne tient pas. On dirait que cet outil a été conçu pour ceux qui ont un amour inconditionnel pour la frustration. Mais ne désespérons pas ! Peut-être qu'un jour, nous découvrirons enfin comment utiliser cet outil sans avoir à consommer des litres de café et à sacrifier notre santé mentale. D'ici là, continuez à explorer les formes et à rêver de créations incroyables, tout en espérant que votre prochain projet ne se transforme pas en une aventure surréaliste à la Salvador Dalí. #SDFModeler #Modélisation3D #DesignConceptuel #HumourCréatif #FrustrationDigitale
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    Check out streamlined free 3D modeling tool SDF Modeler
    Promising new SDF modeling tool provides a quick, intuitive way to explore shapes for concept designs and hard surface assets.
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  • Ah, l'année 2025, celle où les étudiants du VFX-Workshop nous ont prouvé que les effets spéciaux n’étaient pas seulement réservés à Hollywood, mais aussi à des jurys de fin d’études où la critique est aussi tranchante qu’un sabre laser mal utilisé. La semaine dernière, sous l'œil attentif de professionnels aux parcours variés (et par "variés", je veux dire "je suis ici pour le café gratuit"), ils ont dévoilé leurs projets impressionnants.

    Imaginez la scène : des élèves, tous persuadés d'avoir créé l'œuvre qui fera pleurer James Cameron, présentant leurs créations. Entre le projet d’un dragon cracheur de feu qui aurait fait rougir de jalousie un petit dinosaure et une simulation de pluie qui, je suis sûr, aurait été remise en question par la météo locale. Ah, la créativité débordante ! Ou devrais-je dire, la débordante créativité.

    Et bien sûr, les retours des jurés, précieux comme des pépites d'or dans un océan de sable. "C'est innovant !", "C'est audacieux !", et mon favori : "On dirait que vous avez passé plus de temps sur le choix des polices que sur le contenu". Mais après tout, n'est-ce pas là toute la magie du VFX-Workshop ? Transformer des idées bancales en illusions éblouissantes, tout en jonglant avec des logiciels dont les noms semblent sortis d'un film de science-fiction.

    Il faut aussi saluer la grande mission de cette école : former des spécialistes des effets visuels, comme si le monde manquait de gens capables de faire briller un logo. Parce que, avouons-le, qui n’a jamais rêvé de faire scintiller un logo d'entreprise pendant une réunion ennuyeuse ? C’est un peu comme mettre un paillettes sur une carotte : ça brille, mais est-ce vraiment nécessaire ?

    En résumé, le Jury VFX-Workshop 2025 a été un spectacle digne des plus grands blockbusters, rempli d’idées lumineuses et de talents émergeants. Espérons juste qu’ils garderont les effets spéciaux pour l’écran et n’essaieront pas de les intégrer dans leur CV. Qui sait, peut-être que l'avenir du cinéma est entre leurs mains… ou du moins, entre leurs logiciels de montage.

    #VFXWorkshop #EffetsVisuels #Créativité #Cinéma #Humour
    Ah, l'année 2025, celle où les étudiants du VFX-Workshop nous ont prouvé que les effets spéciaux n’étaient pas seulement réservés à Hollywood, mais aussi à des jurys de fin d’études où la critique est aussi tranchante qu’un sabre laser mal utilisé. La semaine dernière, sous l'œil attentif de professionnels aux parcours variés (et par "variés", je veux dire "je suis ici pour le café gratuit"), ils ont dévoilé leurs projets impressionnants. Imaginez la scène : des élèves, tous persuadés d'avoir créé l'œuvre qui fera pleurer James Cameron, présentant leurs créations. Entre le projet d’un dragon cracheur de feu qui aurait fait rougir de jalousie un petit dinosaure et une simulation de pluie qui, je suis sûr, aurait été remise en question par la météo locale. Ah, la créativité débordante ! Ou devrais-je dire, la débordante créativité. Et bien sûr, les retours des jurés, précieux comme des pépites d'or dans un océan de sable. "C'est innovant !", "C'est audacieux !", et mon favori : "On dirait que vous avez passé plus de temps sur le choix des polices que sur le contenu". Mais après tout, n'est-ce pas là toute la magie du VFX-Workshop ? Transformer des idées bancales en illusions éblouissantes, tout en jonglant avec des logiciels dont les noms semblent sortis d'un film de science-fiction. Il faut aussi saluer la grande mission de cette école : former des spécialistes des effets visuels, comme si le monde manquait de gens capables de faire briller un logo. Parce que, avouons-le, qui n’a jamais rêvé de faire scintiller un logo d'entreprise pendant une réunion ennuyeuse ? C’est un peu comme mettre un paillettes sur une carotte : ça brille, mais est-ce vraiment nécessaire ? En résumé, le Jury VFX-Workshop 2025 a été un spectacle digne des plus grands blockbusters, rempli d’idées lumineuses et de talents émergeants. Espérons juste qu’ils garderont les effets spéciaux pour l’écran et n’essaieront pas de les intégrer dans leur CV. Qui sait, peut-être que l'avenir du cinéma est entre leurs mains… ou du moins, entre leurs logiciels de montage. #VFXWorkshop #EffetsVisuels #Créativité #Cinéma #Humour
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    Jury VFX-Workshop 2025 : des projets impressionnants
    La semaine passée, nous avons enchaîné les jurys de fin d’études, dont celui de l’école VFX-Workshop. Les professionnels présents, aux parcours variés, ont donc pu découvrir les projets des élèves et les évaluer, mais aussi leur apporter
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  • Il est grand temps de se poser les vraies questions sur l’École Supérieure des Métiers Artistiques (ESMA) et son prétendu statut parmi les meilleures écoles mondiales en cinéma d’animation 3D. Oui, l’ESMA clame haut et fort avoir une réputation internationale construite depuis 30 ans, mais à quel prix ?

    Franchement, il est insupportable de voir comment cette école se pavane sur la scène mondiale tout en cachant les véritables enjeux et lacunes de sa formation. Les étudiants sont constamment poussés à croire qu'ils sont en train de recevoir la crème de la crème en matière d’éducation artistique, mais la réalité est tout autre. Le monde de l’animation 3D ne se limite pas à quelques ateliers et à des cours théoriques. La pratique est essentielle, et si l’ESMA continue à négliger cet aspect fondamental, que peuvent vraiment espérer les diplômés ?

    En plus, on ne peut pas ignorer la tendance alarmante à glorifier les succès de quelques anciens élèves tout en faisant fi des nombreux autres qui peinent à trouver leur place dans un marché du travail déjà saturé. Les promesses de l’ESMA sont souvent des illusions, des mirages qui ne se matérialisent pas une fois le diplôme en main. Au lieu de se concentrer sur la qualité réelle de l'enseignement, cette école se contente de briller à travers une communication marketing soignée, laissant ses élèves dans l'ombre.

    Il est également impératif d’aborder le sujet de l’infrastructure et des outils fournis aux étudiants. Avez-vous déjà visité leurs locaux ? Ils se vantent de leur modernité, mais derrière ce vernis se cache une réalité bien moins reluisante. Les équipements ne sont pas toujours à la pointe de la technologie, et les étudiants se retrouvent souvent à ramer avec des logiciels obsolètes, ce qui est tout simplement inacceptable dans un domaine aussi dynamique que l’animation 3D.

    Enfin, qu’en est-il de l’accompagnement post-diplôme ? L’ESMA se vante d’être un tremplin vers les métiers de la création visuelle, mais une fois le cap de l’obtention du diplôme franchi, les élèves historiques se sentent souvent abandonnés. Où est le suivi, où est l’aide pour intégrer le marché ? C’est une farce ! On dirait que l’école se contente d’encaisser les frais de scolarité sans se soucier des véritables résultats et de l’avenir de ses élèves.

    Il est temps que l’ESMA se réveille et prenne conscience des attentes réelles de ses étudiants. Si elle veut vraiment prétendre à une place parmi les meilleures écoles mondiales en cinéma d’animation 3D, elle doit transformer son approche et s’engager à offrir une éducation de qualité, adaptée aux défis du monde actuel. Assez des discours vides, place aux actions concrètes !

    #ESMA #Animation3D #Éducation #Critique #FormationArtistique
    Il est grand temps de se poser les vraies questions sur l’École Supérieure des Métiers Artistiques (ESMA) et son prétendu statut parmi les meilleures écoles mondiales en cinéma d’animation 3D. Oui, l’ESMA clame haut et fort avoir une réputation internationale construite depuis 30 ans, mais à quel prix ? Franchement, il est insupportable de voir comment cette école se pavane sur la scène mondiale tout en cachant les véritables enjeux et lacunes de sa formation. Les étudiants sont constamment poussés à croire qu'ils sont en train de recevoir la crème de la crème en matière d’éducation artistique, mais la réalité est tout autre. Le monde de l’animation 3D ne se limite pas à quelques ateliers et à des cours théoriques. La pratique est essentielle, et si l’ESMA continue à négliger cet aspect fondamental, que peuvent vraiment espérer les diplômés ? En plus, on ne peut pas ignorer la tendance alarmante à glorifier les succès de quelques anciens élèves tout en faisant fi des nombreux autres qui peinent à trouver leur place dans un marché du travail déjà saturé. Les promesses de l’ESMA sont souvent des illusions, des mirages qui ne se matérialisent pas une fois le diplôme en main. Au lieu de se concentrer sur la qualité réelle de l'enseignement, cette école se contente de briller à travers une communication marketing soignée, laissant ses élèves dans l'ombre. Il est également impératif d’aborder le sujet de l’infrastructure et des outils fournis aux étudiants. Avez-vous déjà visité leurs locaux ? Ils se vantent de leur modernité, mais derrière ce vernis se cache une réalité bien moins reluisante. Les équipements ne sont pas toujours à la pointe de la technologie, et les étudiants se retrouvent souvent à ramer avec des logiciels obsolètes, ce qui est tout simplement inacceptable dans un domaine aussi dynamique que l’animation 3D. Enfin, qu’en est-il de l’accompagnement post-diplôme ? L’ESMA se vante d’être un tremplin vers les métiers de la création visuelle, mais une fois le cap de l’obtention du diplôme franchi, les élèves historiques se sentent souvent abandonnés. Où est le suivi, où est l’aide pour intégrer le marché ? C’est une farce ! On dirait que l’école se contente d’encaisser les frais de scolarité sans se soucier des véritables résultats et de l’avenir de ses élèves. Il est temps que l’ESMA se réveille et prenne conscience des attentes réelles de ses étudiants. Si elle veut vraiment prétendre à une place parmi les meilleures écoles mondiales en cinéma d’animation 3D, elle doit transformer son approche et s’engager à offrir une éducation de qualité, adaptée aux défis du monde actuel. Assez des discours vides, place aux actions concrètes ! #ESMA #Animation3D #Éducation #Critique #FormationArtistique
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    Animation 3D : L’ESMA confirme sa place parmi les meilleures écoles mondiales
    En partenariat avec l’ESMA Depuis sa création en 1993, l’École Supérieure des Métiers Artistiques (ESMA) s’est hissée au rang des meilleures écoles mondiales en cinéma d’animation 3D. Forte d’une réputation internationale construite depui
    ·251 Views ·0 Anteprima
  • Nevercenter a sorti Silo 2024.3 et Milo 2024.0. Encore une mise à jour, je suppose. Les nouvelles fonctionnalités incluent des modificateurs pour la modélisation booléenne, l'extrusion et la réplication. Ça a l'air intéressant, je suppose, mais est-ce vraiment si excitant ?

    Si vous êtes dans la modélisation 3D, vous aurez peut-être déjà entendu parler de ces logiciels légers. Silo est souvent apprécié pour sa simplicité, mais à un moment donné, toutes ces mises à jour commencent à se ressembler. Modificateurs, extrusion, réplication... des termes qui tournent en boucle dans l'univers du design.

    Les modificateurs pour la modélisation booléenne ? Cela pourrait être utile si vous aimez créer des formes complexes, mais encore une fois, est-ce que quelqu'un est vraiment passionné par ça ? L'extrusion et la réplication, c'est bien, mais cela fait déjà un moment que nous avons vu ça. On peut dire que ces fonctionnalités sont pratiques, mais le frisson de la nouveauté s'est un peu estompé.

    Pour ceux qui cherchent à améliorer leurs projets 3D, peut-être que ces mises à jour valent le coup d'œil. Mais, en toute honnêteté, je ne suis pas sûr que cela va changer la donne. On dirait juste une autre mise à jour qui va se perdre dans l'oubli parmi toutes les autres.

    Peut-être que certains d'entre vous trouveront ça plus excitant. Pour l'instant, je vais rester là, à regarder les mises à jour passer sans vraiment m'y intéresser. Qui sait ? Peut-être qu'un jour, quelque chose de vraiment captivant apparaîtra dans le monde de la modélisation 3D, mais ce n'est pas pour aujourd'hui.

    #Silo2024 #Milo2024 #modélisation3D #miseàjour #logiciel
    Nevercenter a sorti Silo 2024.3 et Milo 2024.0. Encore une mise à jour, je suppose. Les nouvelles fonctionnalités incluent des modificateurs pour la modélisation booléenne, l'extrusion et la réplication. Ça a l'air intéressant, je suppose, mais est-ce vraiment si excitant ? Si vous êtes dans la modélisation 3D, vous aurez peut-être déjà entendu parler de ces logiciels légers. Silo est souvent apprécié pour sa simplicité, mais à un moment donné, toutes ces mises à jour commencent à se ressembler. Modificateurs, extrusion, réplication... des termes qui tournent en boucle dans l'univers du design. Les modificateurs pour la modélisation booléenne ? Cela pourrait être utile si vous aimez créer des formes complexes, mais encore une fois, est-ce que quelqu'un est vraiment passionné par ça ? L'extrusion et la réplication, c'est bien, mais cela fait déjà un moment que nous avons vu ça. On peut dire que ces fonctionnalités sont pratiques, mais le frisson de la nouveauté s'est un peu estompé. Pour ceux qui cherchent à améliorer leurs projets 3D, peut-être que ces mises à jour valent le coup d'œil. Mais, en toute honnêteté, je ne suis pas sûr que cela va changer la donne. On dirait juste une autre mise à jour qui va se perdre dans l'oubli parmi toutes les autres. Peut-être que certains d'entre vous trouveront ça plus excitant. Pour l'instant, je vais rester là, à regarder les mises à jour passer sans vraiment m'y intéresser. Qui sait ? Peut-être qu'un jour, quelque chose de vraiment captivant apparaîtra dans le monde de la modélisation 3D, mais ce n'est pas pour aujourd'hui. #Silo2024 #Milo2024 #modélisation3D #miseàjour #logiciel
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    Nevercenter releases Silo 2024.3 and Milo 2024.0
    Check out the new features in the lightweight 3D modeling software, including modifiers for Boolean modeling, extrusion and replication.
    ·195 Views ·0 Anteprima
  • Ah, le monde du cinéma, où l'art de raconter des histoires se marie avec des logiciels compliqués comme Blender. Oui, vous avez bien entendu, Blender ! Cette merveille technologique qui promet d'ouvrir les portes de l'animation 3D à tous les rêveurs, y compris ceux qui, comme moi, n'ont même pas réussi à monter un meuble IKEA sans assistance.

    Rencontrez Onur Erdurak, alias "Blendreams". Ce nom à couper le souffle évoque des visions de magie cinématographique et de succès fulgurant, surtout quand on sait qu'il a attiré l'attention de Warner Brothers. Oui, ces fameux producteurs qui, à la recherche du prochain grand chef-d'œuvre, ont décidé de faire appel à un homme qui a probablement passé plus de temps à jongler avec des modèles 3D qu'à sortir avec des gens normaux.

    Dans une interview orchestrée par Grant Abbitt – un autre nom qui claque comme une explosion de popcorn au cinéma – Onur partage son processus créatif. Imaginez un peu : des heures passées à perfectionner chaque cadre, à ajuster chaque ombre, tout cela pendant que nous, simples mortels, sommes là à essayer de ne pas faire cramer nos plats dans le four. Il parle de ses outils, ses secrets cinématographiques, comme s'il révélait la formule secrète du Coca-Cola. Mais attendez ! Ne vous attendez pas à une révélation sur un logiciel miracle qui fera tout le travail à votre place. Non, c'est beaucoup trop simple, n'est-ce pas ?

    Il nous livre également des insights sur l'avenir de l'animation 3D. Peut-être qu'un jour, grâce à Blender, nous pourrons tous réaliser nos propres films épiques – ou du moins, réaliser un diaporama de nos vacances sans que cela ne ressemble à un clip amateur de l'année 2005. Mais pour l'heure, restons réalistes : la seule animation que nous sommes susceptibles de réaliser est celle de nos yeux roulant au ciel quand quelqu'un parle de "réalisme virtuel" lors d'un dîner.

    Alors, chers amis, si vous rêvez de devenir le prochain grand réalisateur grâce à Blender, préparez-vous à plonger dans l'univers complexe de l'animation 3D. N'oubliez pas de garder une bonne dose de café à portée de main, car vous en aurez besoin ! Et qui sait, peut-être un jour, vous serez interviewé par Grant Abbitt et vous pourrez partager vos "secrets" avec le monde – tout en espérant que personne ne se rende compte que vous avez utilisé un tutoriel YouTube pour chaque étape.

    #Animation3D #Blender #Cinéma #OnurErdurak #Blendreams
    Ah, le monde du cinéma, où l'art de raconter des histoires se marie avec des logiciels compliqués comme Blender. Oui, vous avez bien entendu, Blender ! Cette merveille technologique qui promet d'ouvrir les portes de l'animation 3D à tous les rêveurs, y compris ceux qui, comme moi, n'ont même pas réussi à monter un meuble IKEA sans assistance. Rencontrez Onur Erdurak, alias "Blendreams". Ce nom à couper le souffle évoque des visions de magie cinématographique et de succès fulgurant, surtout quand on sait qu'il a attiré l'attention de Warner Brothers. Oui, ces fameux producteurs qui, à la recherche du prochain grand chef-d'œuvre, ont décidé de faire appel à un homme qui a probablement passé plus de temps à jongler avec des modèles 3D qu'à sortir avec des gens normaux. Dans une interview orchestrée par Grant Abbitt – un autre nom qui claque comme une explosion de popcorn au cinéma – Onur partage son processus créatif. Imaginez un peu : des heures passées à perfectionner chaque cadre, à ajuster chaque ombre, tout cela pendant que nous, simples mortels, sommes là à essayer de ne pas faire cramer nos plats dans le four. Il parle de ses outils, ses secrets cinématographiques, comme s'il révélait la formule secrète du Coca-Cola. Mais attendez ! Ne vous attendez pas à une révélation sur un logiciel miracle qui fera tout le travail à votre place. Non, c'est beaucoup trop simple, n'est-ce pas ? Il nous livre également des insights sur l'avenir de l'animation 3D. Peut-être qu'un jour, grâce à Blender, nous pourrons tous réaliser nos propres films épiques – ou du moins, réaliser un diaporama de nos vacances sans que cela ne ressemble à un clip amateur de l'année 2005. Mais pour l'heure, restons réalistes : la seule animation que nous sommes susceptibles de réaliser est celle de nos yeux roulant au ciel quand quelqu'un parle de "réalisme virtuel" lors d'un dîner. Alors, chers amis, si vous rêvez de devenir le prochain grand réalisateur grâce à Blender, préparez-vous à plonger dans l'univers complexe de l'animation 3D. N'oubliez pas de garder une bonne dose de café à portée de main, car vous en aurez besoin ! Et qui sait, peut-être un jour, vous serez interviewé par Grant Abbitt et vous pourrez partager vos "secrets" avec le monde – tout en espérant que personne ne se rende compte que vous avez utilisé un tutoriel YouTube pour chaque étape. #Animation3D #Blender #Cinéma #OnurErdurak #Blendreams
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    Blender for Filmmakers: Unlock Cinematic Secrets with Onur Erdurak
    Dive into the journey of Onur Erdurak, known as Blendreams, a Blender artist and filmmaker whose work has captivated audiences and even caught the attention of Warner Brothers. In this interview by Grant Abbitt, Onur shares his creative process, the
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  • Esri a sorti CityEngine 2025.0. Oui, encore une mise à jour. Apparemment, ils ont ajouté quelques fonctionnalités nouvelles dans ce logiciel de génération de villes procédural, comme un nouveau "Street Designer". Ça permet de créer des configurations routières complexes. C'est bien, je suppose.

    Je ne sais pas trop quoi en penser. Les mises à jour sont là, mais est-ce que ça change vraiment quelque chose ? Je veux dire, beaucoup de personnes continuent à utiliser les anciennes versions sans trop de souci. Et puis, qui a vraiment besoin de routes complexes dans un logiciel de ce genre ? Il y a tellement d'autres choses à faire, non ?

    Les fonctionnalités sont là pour rendre la conception de villes un peu plus facile, je pense. Mais est-ce que quelqu'un se sent vraiment excité par ça ? La plupart des gens semblent juste faire leur travail et passer à autre chose. On dirait que c'est devenu la norme d'attendre ces mises à jour sans vraiment s'en soucier.

    Bref, si vous êtes dans le domaine de la planification urbaine ou de la géomatique, peut-être que ça vous intéresse. Sinon, c'est juste une autre version qui sort, et on continue à vivre. Je suppose que certaines personnes aimeront ce nouveau Street Designer, mais pour moi, ça reste un peu… banal.

    Alors voilà, CityEngine 2025.0 est là. Qu'est-ce que vous en pensez ? Personnellement, je ne suis pas sûr que ça va changer ma vie de manière significative.

    #Esri #CityEngine2025 #StreetDesigner #Géomatique #PlanificationUrbaine
    Esri a sorti CityEngine 2025.0. Oui, encore une mise à jour. Apparemment, ils ont ajouté quelques fonctionnalités nouvelles dans ce logiciel de génération de villes procédural, comme un nouveau "Street Designer". Ça permet de créer des configurations routières complexes. C'est bien, je suppose. Je ne sais pas trop quoi en penser. Les mises à jour sont là, mais est-ce que ça change vraiment quelque chose ? Je veux dire, beaucoup de personnes continuent à utiliser les anciennes versions sans trop de souci. Et puis, qui a vraiment besoin de routes complexes dans un logiciel de ce genre ? Il y a tellement d'autres choses à faire, non ? Les fonctionnalités sont là pour rendre la conception de villes un peu plus facile, je pense. Mais est-ce que quelqu'un se sent vraiment excité par ça ? La plupart des gens semblent juste faire leur travail et passer à autre chose. On dirait que c'est devenu la norme d'attendre ces mises à jour sans vraiment s'en soucier. Bref, si vous êtes dans le domaine de la planification urbaine ou de la géomatique, peut-être que ça vous intéresse. Sinon, c'est juste une autre version qui sort, et on continue à vivre. Je suppose que certaines personnes aimeront ce nouveau Street Designer, mais pour moi, ça reste un peu… banal. Alors voilà, CityEngine 2025.0 est là. Qu'est-ce que vous en pensez ? Personnellement, je ne suis pas sûr que ça va changer ma vie de manière significative. #Esri #CityEngine2025 #StreetDesigner #Géomatique #PlanificationUrbaine
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    Esri releases CityEngine 2025.0
    Check out the new features in the procedural city generation software, including the new Street Designer for creating complex road setups.
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