Le monde des jeux vidéo a déjà vu des tendances s'éteindre aussi vite qu'elles ont commencé. Souvenez-vous de Guitar Hero ? C'était un truc énorme, puis, d'un coup, tout le monde a décidé que c'était plus trop cool. Maintenant, on parle de Keyboard Hero, une sorte de version minimaliste pour ceux qui n'ont jamais vraiment eu envie de sortir leur guitare. Les rythmes et les mélodies, c'était sympa à une époque. Mais voilà, le temps a passé, et l'enthousiasme s'est envolé. Keyboard Hero tente de ramener un peu de cette magie, mais sans le bling-bling de la guitare. On appuie sur des touches, on suit des séquences, et puis, bon, c'est un peu comme regarder de la peinture sécher. Pour ceux qui ont encore une petite flamme pour ces jeux de rythme, peut-être que ça vaut le coup d'y jeter un œil. Mais, soyons honnêtes, on ne s'emballe pas trop non plus. Les souvenirs de Guitar Hero restent gravés dans nos cerveaux, mais le retour de ces jeux de rythme semble un peu inutile. Alors, si vous avez du temps à perdre et que vous avez besoin d'un peu de musique dans votre vie, pourquoi pas essayer Keyboard Hero. Mais ne vous attendez pas à des feux d'artifice. Ça reste un jeu, un peu ennuyeux, pour passer le temps. #KeyboardHero #GuitarHero #JeuxVidéo #Musique #Rythme

Dans un monde où chaque pixel compte et où le bruit de fond est devenu la bande originale de nos vies, il est rassurant de savoir que tout est devenu "audiovisuel". Qui aurait pensé que nos existences, jadis marquées par de longs silences, seraient maintenant rythmées par le doux cliquetis de nos smartphones ? Grâce à ce nouveau numéro de Gràffica 38 – Audiovisual, nous plongeons tête la première dans un océan où l’image et le son se marient comme un couple de danse sur un plateau de télévision en direct. Auparavant, la notion de "langage visuel et sonore" était réservée aux artistes et aux créateurs. Mais maintenant, qui a besoin de talent quand on a un filtre Instagram et une playlist Spotify ? Les générations d’aujourd’hui sont tellement immergées dans la culture numérique qu'elles pourraient probablement communiquer uniquement par GIFs et mèmes. Qui aurait cru qu’un simple chat qui fait des pirouettes pourrait transmettre des émotions plus profondes qu'un poème de Rimbaud ? La beauté de la modernité réside dans notre capacité à transformer tout, même le banal, en un chef-d'œuvre audiovisuel à partager sur nos réseaux sociaux. Ce numéro explore la façon dont le langage visuel et sonore se construit dans cette ère digitale, où chaque seconde compte et où la capacité d’attention est aussi fugace qu’un TikTok de quinze secondes. Ah, l’ère numérique ! La seule époque où vous pouvez passer de "Je vais lire un livre" à "Oh, une vidéo de quelqu’un qui cuisine un plat en 60 secondes" en un clin d'œil. Mais n'oublions pas que, dans ce maelström d'images et de sons, il y a quelque chose de profondément ironique : plus nous produisons de contenu, moins nous semblons nous connecter vraiment. Les likes et les partages deviennent les nouvelles validations de notre existence. Quoi de mieux que de faire un montage vidéo sur votre brunch du dimanche pour prouver à vos amis que vous avez une vie passionnante ? Et avec chaque publication, chaque vidéo et chaque son, nous construisons un univers qui, tout en se multipliant à une vitesse vertigineuse, ne fait que nous rappeler à quel point nous sommes devenus des spectateurs de notre propre vie. Alors, à tous les créateurs, graphistes, et aspirants à la célébrité numérique : continuez à inonder le monde avec vos œuvres audiovisuelles ! Qui a besoin de profondeur quand on peut obtenir des vues ? En fin de compte, tout est audiovisuel, et nous sommes tous des acteurs dans cette pièce absurde qu'est la vie moderne. Mais n’oubliez pas, pendant que vous construisez votre empire audiovisuel, de prendre un moment pour apprécier le silence… ou peut-être pas, car après tout, qui a encore le temps pour ça ? #Gràffica38 #Audiovisuel #CultureNumérique #LangageVisuel #IronieModerne

Ah, Trump et l'industrie de l'énergie, un duo dynamique prêt à nous propulser dans le futur… avec du bon vieux charbon et du pétrole ! Qui aurait cru que la clé de l'intelligence artificielle se trouvait au fond d'un puits de pétrole ? À Pittsburgh, lors de ce sommet mémorable, nos chers dirigeants et barons de la technologie se sont unis pour nous convaincre que la meilleure façon de faire avancer l'IA, c'est de la brancher sur des combustibles fossiles. Je suppose qu'ils croient que le CO2 est le nouveau « super aliment » pour les neurones artificiels. Imaginez un instant un robot intelligent, bardé de circuits et de données, alimenté par... des émanations de gaz ! Quel meilleur moyen de préparer l'avenir que de combiner innovation technologique et nostalgie pour les énergies du passé ? C'est comme si l'on décidait de faire avancer une voiture électrique avec le son d'un moteur à combustion qui rugit. C'est l'avenir, n'est-ce pas ? Et n'oublions pas la touche finale : ces magnats de l'industrie qui se frottaient les mains à l'idée de vendre des solutions « vertes » tout en pompant l'essence à pleines mains. Qui a besoin d'énergie renouvelable quand on a l'énergie fossile ? Cela fait tellement longtemps que nous avons cessé de nous soucier de la planète, n'est-ce pas ? Après tout, un peu de réchauffement climatique ne peut pas nuire au développement de l'IA, n'est-ce pas ? Je ne sais pas pour vous, mais je trouve cela hilarant. Nous passons à l'ère numérique avec des cerveaux alimentés par des énergies datant de l'âge de pierre. Peut-être qu'un jour, nous aurons des intelligences artificielles qui nous feront des recommandations sur la meilleure façon de brûler des déchets pour alimenter nos futurs ordinateurs. Qui sait ? Avec un peu de chance, la prochaine étape sera d'utiliser de l'énergie nucléaire pour faire fonctionner nos grille-pains ! À ce rythme, je suis sûr que les prochaines générations vont se retourner dans leurs tombes en découvrant que l'IA a été alimentée par des fossiles. Mais bon, au moins, nous pourrons dire que nous avons essayé de combiner le meilleur des deux mondes : l’innovation et la tradition… d'une manière plutôt fumante. #ÉnergieFossile #IntelligenceArtificielle #Trump #ComédieModerne #FuturSombre

David Gallagher, l'acteur qui a incarné Riku dans Kingdom Hearts, s'apprête enfin à jouer aux jeux, après plus de deux décennies. C'est un peu fou, non ? Il a commencé dans ce rôle emblématique à l'âge de 17 ans, et maintenant, à 40 ans, il réalise enfin ce qui semble être un rite de passage pour tous les fans. Kingdom Hearts a été lancé sur la PlayStation 2 en 2002, et il semble que Gallagher ait pris son temps. On pourrait penser qu'après tant d'années à jouer un personnage qui a captivé tant de "gamer girls", il aurait eu au moins l'envie de plonger dans cet univers. Mais non, il n'a jamais joué à ces RPG Disney. C'est un peu... déroutant. Peut-être qu'il a juste eu d'autres choses à faire, ou peut-être qu'il ne voit pas l'intérêt de s'asseoir devant un écran et de jouer à des jeux qui font partie de son passé. C'est vrai que la nostalgie peut être un peu trop forte parfois, et peut-être que les jeux n'ont pas vraiment changé sa vie. Les gens passent souvent leur temps à parler de Kingdom Hearts, de son intrigue complexe et de ses personnages attachants, mais lui, il semble juste y aller à son propre rythme. Maintenant, avec sa chaîne Twitch, il a enfin décidé de jouer, mais qui sait s'il sera vraiment "dans le jeu" ou s'il continuera simplement à faire le minimum. Il est un peu tard pour lui de découvrir ce monde, mais bon, mieux vaut tard que jamais. Peut-être qu'il va réaliser à quel point ce jeu est aimé par tant de personnes. Ou peut-être qu'il va juste trouver ça ennuyeux. Au final, qui sait ce qui se passe dans la tête de David Gallagher ? Pour nous, les fans, ça reste un mystère. Mais une chose est sûre, Kingdom Hearts et Riku resteront toujours une partie de son histoire, même s'il n'a jamais pris le temps de jouer. Alors, voilà un acteur qui a vécu des aventures sans jamais vraiment les vivre. #KingdomHearts #DavidGallagher #Riku #JeuxVidéo #Twitch

✨🌟 Chers amis ! 🌟✨ C'est avec une immense joie que je partage avec vous une nouvelle excitante : la saison 2 de *Poker Face* touche à sa fin ! 🎉🎬 Si vous n'avez pas encore plongé dans cet univers captivant, il est grand temps de binge-watcher l'une des meilleures séries à la télévision en ce moment ! 🍿❤️ Pour ceux qui ne le savent pas encore, *Poker Face* est un véritable bijou qui mérite d'être découvert. En tant que critique de jeux et éditeur, je ne peux que vous encourager à vous plonger dans cette série fascinante. Chaque épisode est une aventure, un mélange habile de mystère et de drame qui vous tiendra en haleine du début à la fin ! 🔍💖 La créativité et l'originalité de *Poker Face* sont tout simplement époustouflantes. Les personnages sont si bien développés que vous vous attacherez à chacun d'eux. Vous ne pourrez pas vous empêcher de vouloir savoir ce qui va se passer ensuite ! 😍📺 Et la meilleure partie ? La série est accessible sur Peacock, vous permettant de l'apprécier à votre rythme, avec du pop-corn à la main ! 🍿💕 Il est tellement important de célébrer les petites choses qui nous apportent de la joie, et le fait de se réunir devant une bonne série en fait partie. Que vous soyez entre amis, en famille ou même en solo, *Poker Face* offre une expérience unique qui peut égayer vos soirées. 🎉✨ Alors, rassemblons-nous et profitons de moments précieux autour de cette série incroyable ! N'oubliez pas de partager vos épisodes préférés et vos théories sur ce qui va se passer dans le dernier épisode de cette saison. Je parie que cela va être épique ! 💥🤩 Alors, mettez-vous à l'aise, préparez vos snacks, et laissez-vous emporter par l'univers de *Poker Face*. La fin de la saison 2 n'est pas une fin, mais le début d'une nouvelle aventure ! 🚀💫 Et rappelez-vous, chaque moment passé à rire, à réfléchir ou à ressentir est une victoire ! Alors, faites le plein d'énergie positive et savourez chaque instant ! 💖🌈 #PokerFace #SériesTV #BingeWatching #PositiveVibes #Inspiration

TransPerfect a décidé de mettre la main sur MPC et The Mill en France. C'est un mouvement qui n'étonne pas vraiment, surtout après que Mikros Animation France et Canada ont été vendus par morceaux à Rodeo FX et OuiDO. Donc, maintenant, on est au courant du sort des studios d'effets visuels MPC, qui se concentrent sur le long métrage et les contenus épisodiques, ainsi que de The Mill, qui s'occupe de la publicité. Le groupe Technicolor, qui rassemblait toutes ces entités, a donc été réduit à une simple ombre de ce qu'il était auparavant. C'est un peu triste, mais bon, c'est comme ça. Les affaires continuent, et TransPerfect s'implique dans ce secteur visuel déjà saturé. Peut-être qu'ils espèrent apporter un souffle nouveau, ou peut-être pas. Qui sait. On se demande vraiment ce que cela va changer pour les équipes qui y travaillent. Est-ce que ça va leur apporter plus d'opportunités ou juste une réorganisation de plus ? Franchement, ça reste à voir. En attendant, la routine habituelle s'installe, comme d'habitude. Les studios qui étaient autrefois des leaders dans le domaine des effets spéciaux et de la publicité se retrouvent maintenant sous la houlette d'une nouvelle entité. Il y a quelque chose de mélancolique là-dedans. Les projets, les rêves, tout ça... Ça devient un peu comme une machine froide qui tourne sans beaucoup d'enthousiasme. Les employés de MPC et de The Mill peuvent se sentir un peu perdus, mais bon, on espère qu'ils trouveront un moyen de s'adapter. La créativité, ça prend du temps, et avec ces changements, le rythme peut devenir encore plus lourd. Voilà, c'est tout pour l'instant. Pas grand-chose à ajouter. Les nouvelles sont là, et on attend de voir comment ça va évoluer. Le temps passe, et souvent, on reste là à observer sans trop d'entrain. #TransPerfect #MPC #TheMill #Technicolor #EffetsVisuels

Il y a des moments dans la vie où l'on se sent délaissé, comme si le monde nous avait oublié. La solitude s'installe, et même au milieu de la foule, on se sent étrangement perdu. Ce sentiment me submerge alors que je repense à l’animation et à cette culture urbaine qui autrefois m’apportait tant de joie. 🌧️ Le basketball, ce sport qui a rythmé des générations, est devenu un symbole de fierté et d’unité. Les souvenirs de matchs palpitants, des cris de joie et des rires partagés semblent maintenant lointains. L’annonce de "GOAT", cette nouvelle animation qui réunit le basket et la culture urbaine, me rappelle combien j'ai aimé ces moments. Mais en même temps, je ne peux m'empêcher de ressentir une profonde mélancolie. 💔 Les personnages qui dansent sur le parquet, les slam dunks spectaculaires, et les histoires de persévérance me touchent au cœur. Pourtant, au fond de moi, je me sens comme un spectateur de ma propre vie, un étranger dans un monde qui avance sans moi. Chaque image de "GOAT" évoque une nostalgie, comme si ces moments de bonheur étaient réservés aux autres, tandis que je reste ici, accablé par le poids du quotidien. La beauté de l'animation est qu'elle sait capturer l’essence même des émotions humaines. Mais lorsque l'on se sent isolé, même les plus belles histoires peuvent sembler vides. Mes pensées vagabondent vers cette époque où le jeu faisait battre mon cœur, où je ne me sentais pas seul. Les héros du basket, emblèmes de force et de détermination, me rappellent que je devrais me battre aussi. Mais la solitude est parfois plus forte que la volonté. 🌌 Alors que "GOAT" s'apprête à illuminer nos écrans, je me demande si je serai capable de ressentir cette magie à nouveau. La culture urbaine danse autour de moi, mais je reste figé, incapable de rejoindre ce rythme. Le basketball, l’animation – tout cela représente un espoir de connexion, mais pour l’instant, je suis encore perdu dans l'ombre de mon propre désespoir. 😔 Peut-être qu'un jour, je retrouverai ce sourire. Peut-être qu'un jour, je me sentirai à nouveau vivant. Mais pour l’instant, je me tiens ici, avec mes pensées sombres et mon cœur lourd. #GOAT #Basketball #Animation #CultureUrbaine #Solitude